Poupette Kenza : Visite de son père absent depuis 4 ans, placement provisoire de Khalis… L’incroyable vérité révélée
Poupette Kenza continue de raconter sa descente aux enfers. Dans son malheur, elle eu la joie de retrouver son père. Une joie de courte durée, avant qu'on le place son fils.
👉 Poupette Kenza a véritablement vécu l’enfer.
👉 Si elle a eu la joie de retrouver son papa après 4 ans sans nouvelles, la joie n’a pas duré
👉 Le placement provisoire de Khalis a été ordonné
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Quand Poupette Kenza raconte sa vérité, la vidéo ne pouvait pas être brève. En effet, après tout ce qu’a traversé la jeune femme, il fallait qu’elle s’explique. Bouleversée, elle publie une vidéo de près d’une heure pour tout expliquer, en détails.
La jeune femme a été plongée dans un véritable enfer dès lors qu’une assistante sociale est entrée dans sa chambre pour la questionner. En effet, celle-ci a eu vent de la fameuse histoire de « la main écrasée » de la petite Seyanna. La suspicion de maltraitance est donc largement justifiée selon les professionnels de la santé et de l’enfance.
Alors que Khalis souffre d’une fracture du crâne, la belle Poupette Kenza n’était pas encore au bout de ses peines.
« Je me sentais persécutée », Poupette soulagée par l’arrivée de son père
Pour Poupette Kenza, l’assistante sociale mélange réseaux sociaux et réalité. En effet, la professionnelle lui a rapporté que des infirmières se sont plaintes d’avoir été filmées, puis que la jeune femme avait écrasé la main de sa fille.
« Vous êtes en train de mélanger, alors que vos infirmières ont fait fuiter le dossier médical de mon fils. Comment peut-il y avoir une neutralité dans les propos d’une infirmière qui me suit, qui me demande des photos ? Je me sentais scrutée les filles… Je me sentais persécutée ! »
Suite à cela, Poupette a eu la surprise de sa vie. Une surprise qu’elle n’avait pas vu depuis 4 ans : son père ! « Ça frappe à la porte de la chambre, mon père rentre. Je ne l’ai pas vu depuis 4 ans ! Il voit mon fils pour la première fois de sa vie. J’étais trop touchée. C’était comme un signe. Il était là au moment où j’avais besoin de lui ! » Exprime Poupette Kenza dans les larmes.
« Je lui dis ‘papa, je ne sais pas, mais cette fois-ci je ne la sens pas bonne avec les services sociaux.’ Il me répond que je n’ai rien à me reprocher, que je n’ai pas fait tomber mon fils. Et puis il reste une heure avec nous », poursuit Poupette Kenza.
Le placement provisoire de Khalis ordonné
Après le départ de Papa Poupette, un médecin légiste vient s’entretenir avec la maman de Khalis. Elle était là pour examiner Khalis, dans le cadre de l’enquête sociale. « Elle regarde Khalis, elle regarde ses parties intimes et tout… Déjà, ça, c’est un traumatisme pour moi. » Puis, une autre femme arrive. « Je n’oublierai jamais son visage. Elle nous conduit dans un bureau. La porte était ouverte et je vois pleins de petites bottes noires en cuir. » Poupette réalise alors qu’il y a devant elle 5 ou 6 policiers.
« Quand on dit qu’une image vaut mille mots, ça a pris tout son sens », lance Poupette submergée par l’émotion, comme elle avait prévenu. « Je regarde les policiers et j’ai tout compris… Je me suis effondrée. Mon corps est tombé. »
La veille, Poupette avait prévenu une responsable qu’elle n’était plus en confiance avec les infirmières. Elle a même ajouté qu’elle souhaite quitter la France, pour le bonheur de ses enfants. L’assistante sociale sort alors un document appelé « OPP » (Ordonnance de placement provisoire). « J’ai pété les plombs ».
« Poupette Kenza menace de fuir »
Le document précise : « Madame Kenza… exerce le métier d’influenceuse. Elle a posté des vidéos avant d’emmener son fils aux urgences, notamment une vidéo où elle appuie sur le crâne de son fils. L’assistante sociale a aussi transmis une information préoccupante, mentionnant prévaut son statut de star pour justifier la publication de vidéos incessantes de son fils et le nom respect du droit à l’image des soignants. »
Les explications de l’OPP ne s’arrêtent pas là. « La mère de Khalis a reconnu qu’il tombait très régulièrement. » Poupette Kenza se sent alors piégée. « Très naïve, j’avais dit que mon fils était tombé plusieurs fois. Mais il a 9 mois, il trébuche, oui, il est déjà tombé. »
L’OPP mentionne que le père de Kahlis gifle son enfant « devant la mère qui filme ». « La mère qui écrase les doigts de sa fille en se filmant avec de nouvelles chaussures ». « Alimentation inadaptée ». Tout pour accablée Poupette Kenza ! « Elle a également menacé de fuir », mentionne encore le document. En effet, cela fait suite au fait que la jeune femme envisage de déménager, comme dit plus haut, pour le bonheur et la sécurité de ses enfants.
Toujours est-il que les parents de Khalis rentreront à la maison sans leur fils, pour une OPP de huit jours. « Pendant 8 jours, on va venir enquêter chez vous. Au bout de huit jours, le juge des enfants va vous donner une date d’audience. Vous verrez alors si vous récupérez ou non votre fils. »
Poupette Kenza réalise dans la douleur que ce qu’elle est en train de vivre, c’est elle-même qui se l’est infligée, à cause des réseaux sociaux. « Allan était inconsolable, je ne pouvais rien faire… »
Et ce n’est que le début du cauchemar pour Poupette Kenza… Les choses allaient encore s’accélérer, jusqu’à la garde à vue. Une véritable descente aux enfers.
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À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche
Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !