Poupette Kenza raconte le début de son enfer dans une vidéo intitulée « La vérité »
Poupette Kenza livre en détails ce qui l'a plongée dans un véritable enfer. Harcèlement, suspicion de maltraitance... Dénonciations... La descente aux enfers en détails !
👉 Poupette Kenza se livre en détails sur son séjour en enfer !
👉 Dénonciations, suspicions, malveillance de la part du personnel médical…
👉 Poupette Kenza est dévastée
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Poupette Kenza a décidé de prendre enfin la parole dans une vidéo intitulée « La vérité ». En effet, la jeune femme était absente des réseaux depuis plus de deux semaines. De quoi inquiéter la communauté la star des réseaux, qui n’étaient pas habitués à une si longue absence.
Dans la tourmente depuis plusieurs semaines, Poupette Kenza se livre enfin, vidéos et screenshots à l’appui, sur ce qu’il s’est réellement passé ces derniers jours, loin des réseaux sociaux.
Bouleversée dès les premières minutes, elle s’excuse à l’avance si elle se laisse submerger par l’émotion au cours de la vidéo de 53 minutes. En effet, elle avoue avoir vécu des traumatismes ces derniers jours, qui laissent des séquelles.
« Votre fils a une fracture du crâne »
« Il y a trois semaines, je me réveille un matin, je donne le bain de mon fils, les filles, vous avez suivi. Je me rends compte que mon fils a une tuméfaction molle sur le côté droit de la tête. Je me dépêche d’aller à l’hôpital », commence Poupette Kenza, dans l’ordre chronologique.
« Je voulais faire une vidéo avant de partir à l’hôpital, parce que j’étais traumatisée, parce que je voulais être rassurée. Allan était en train d’habiller Khalis au moment où j’ai fait la vidéo. » Poupette en profite pour glisser un extrait du moment en question, qui lui a valu les foudres d’internet.
« Je voulais juste être rassurée », insiste la reine des Poupettes. Elle confirme que le petit Khalis a été pris en charge sans attendre à l’hôpital. Le médecin a posé, évidemment, toute une série de questions sur l’enfant : s’il mange bien, s’il est tombé, s’il a dormi la nuit précédente… Poupette Kenza a répondu que son fils mangeait assez bien, qu’il avait passé la dernière nuit agité. Mais elle ajoute qu’il n’est « pas du tout tombé ».
Une semaine à l’hôpital pour Khalis et Poupette Kenza
Suite au scanner effectué sur le petit Khalis, le verdict tombe. « Votre fils a une fracture du crâne. La boule de sang, c’est un hématome. Ce n’est pas arrivé tout seul. S’il a une fracture du crâne, c’est qu’il est tombé, madame. » Alors, la maman de Khalis insiste encore : son fils n’est pas tombé. Sachant que les jours précédents ce drame, Poupette n’était pas avec son fils, elle contacte Allan et la nounou qui a gardé l’enfant en son absence.
« Allan, est-ce que tu as fait tomber Khalis, s’il te plaît ? » Le compagnon de Poupette affirme que ça n’est jamais arrivé. Même réponse pour la nounou. S’en suit une hospitalisation d’une semaine pour le petit garçon. Sa maman restera avec lui tout au long de cette épreuve.
Les professionnels de santé posent toujours la même question à Poupette Kenza : « Est-ce que votre fils est tombé ? » La maman fond en larmes, car pour elle, son fils n’est pas tombé. En tout cas, pas à sa connaissance. De là, le harcèlement commence pour Poupette Kenza.
Le début de l’enfer pour Poupette et Allan
Les détracteurs de Poupette Kenza, et ils sont nombreux, ont commencé à lancer des rumeurs sur Internet. « Elle a dû faire tomber son fils, elle l’a frappé… » C’est la raison pour laquelle la maman est restée en silence pendant l’hospitalisation de Khalis : pour être tranquille, loin des haters, près de son fils.
Après quelques jours, Poupette Kenza réalise que le dossier médical de Khalis a fuité sur Twitter.
Poupette réalise que tous les détails des symptômes de Khalis sont décrits de façon exacte et très médicale. Elle en conclut qu’un membre de l’équipe médicale a balancé des informations. À ce moment-là, la mère de Khalis a l’impression d’être entourée de traîtres. Mais visiblement, les tweets en question ont eu une grande importance dans l’enquête.
Quelques jours plus tard, une assistante sociale arrive auprès de Poupette Kenza et Allan. « Je viens, car vous n’arrivez pas à expliquer la chute de votre fils. J’ai eu une information préoccupante. » Autrement dit, elle a reçu un courrier dénonçant de potentiels actes de maltraitance sur les enfants. C’est une démarche obligatoire.
Drame pour Poupette : l’assistante sociale annonce qu’elle a eu des rapports de la part des infirmières. La maman tombe de haut, car pour elle, « les infirmières sont toutes adorables ». « Vous exposez votre vie sur les réseaux sociaux, des infirmières ont dit avoir été filmées », annonce l’assistante sociale.
Poupette en profite pour publier la photo en question (ci-dessus), prouvant ainsi avoir pris une infirmière en photo, mais de dos ! L’assistante sociale continue : « Imaginons que vous écrasiez la main de votre fille… » Poupette comprend ainsi qu’elle fait référence à la vidéo qui a fait un premier scandale, dans laquelle Poupette marche malencontreusement sur la main de sa petite fille, sans s’en rendre compte tout de suite…
Le début de l’enfer pour Poupette Kenza qui n’a pas fini de raconter le déroulement des événements…
À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche
Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !