Poupette Kenza : « Je ne veux pas servir de bouc émissaire ! »
Poupette Kenza s'est exprimée en retour aux accusations de la députée Sarah Tanzilli. L'infuenceuse souffre de la situation.
👉 Poupette Kenza est dans le viseur de la députée Sarah Tanzilli
👉 La jeune femme trouve injuste de servir de « bouc émissaire pour des intérêts politiques »
👉 Elle répond directement à la députée.
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Si Poupette Kenza a réalisé son rêve en montant les marches du Festival de Cannes, l’influenceuse est toujours visée par des plaintes, des enquêtes et poursuivie par ses haters. Sur Twitter, si la snapchateuse la plus suivie de France fait parler d’elle, c’est souvent pour de mauvaises raisons.
En effet, les internautes analysent depuis des lustres tous les faits et gestes de Poupette Kenza. La jeune femme s’est tout de même exprimée suite à la saisine de la députée Renaissance, Sarah Tanzilli. L’influenceuse dénonce « des accusations calomnieuses ».
« Madame Tanzilli ne s’est pas juste contentée de porter de fausses accusations ! Elle m’a carrément jetée en pâture sur Internet et elle a surtout délibérément remis en cause une décision de justice, des faits pour lesquels une enquête de police et une enquête sociale ont déjà eu lieu », a exprimé Poupette auprès du journal Paris-Normandie.
Poupette Kenza dans le viseur de Sarah Tanzilli
La députée Sarah Tanzilli a utilisé l’article 40 du code pénal, qui indique en ces termes : « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».
Mais Poupette Kenza ne veut plus se laisser faire, avec le soutien de son avocat, elle s’exprime de nouveau. « Je ne veux pas servir de bouc émissaire pour des intérêts politiques, notamment son amendement visant à instaurer un âge plancher pour disposer d’un compte sur les réseaux sociaux. Je suis déjà victime de cyberharcèlement quotidiennement, ce qu’elle a diffusé sur le réseau social n’a fait qu’aggraver mon cyberharcèlement. »
« Elle m’a jetée en pâture publiquement ! »
« Je suis sans doute l’influenceuse la plus harcelée de France mais l’Etat n’a jamais rien fait pour m’aider», affirme-t-elle indiquant que ses «harceleuses se cachent depuis peu derrière des rôles de lanceuses d’alerte pour gagner en crédibilité mais elles ont surtout plusieurs visages et faux comptes. Elles sont extrêmement nocives ».
Poupette Kenza
« On me reproche de filmer mon quotidien de maman influenceuse sur les réseaux sociaux alors que ce n’est pas interdit et que partout ailleurs en France tout le monde le fait sans que cela ne provoque ce que je subis, je ne supporte plus ce deux poids deux mesures, on veut m’empêcher de continuer à faire un métier qui me passionne et qui me permet d’en vivre. » Rapporte le quotidien Cnews.
« Je suis créatrice de contenus par passion, j’ai un lien très fort avec ma communauté et je n’accepte pas que des personnes malveillantes et anonymes d’Internet puissent décider de mon avenir, je refuse de baisser les bras pour apporter une satisfaction malsaine à ces gens-là », poursuit Poupette Kenza.
« Elle m’a jetée en pâture publiquement quand j’étais à Cannes au moment de mon interview avec la mission locale qui a été annulée à cause de tout ça. Le lendemain, je m’insurge des faits de cette injustice et elle retourne la situation comme si c’était moi qui en était à l’origine. »
L’influenceuse ajoute que toutes ces menaces et ce harcèlement mettent à mal son métier et surtout son moral. Selon Poupette Kenza, l’influenceuse est directement condamnée par Twitter. ‘Ce n’est pas normal et c’est injuste. »
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À propos de l'auteur, Charlotte Lamouche
Passionnée de voyages, de culture et de médias, j'ai étudié le cinéma. Aujourd'hui très heureuse au sein de Newstories, je suis revenue à mes premières amours : l'écriture, la pop culture et les médias !