La situation se complique de plus en plus pour Poupette Kenza. En effet, le 7 juillet dernier, l’influenceuse a été arrêtée par la police puis placée en garde à vue. La raison ? Elle est accusée d’extorsion de fonds en bande organisée et association de malfaiteurs.

Une situation qui était loin de surprendre certains internautes. Désormais, on attendait son passage devant le juste afin de connaître ce qui attendait Poupette Kenza. Et ce jeudi 11 juillet, le juge des libertés s’est prononcé. C’est alors qu’il a ordonné le maintien en prison de Kenza Benchrif, durant la durée de l’enquête.

La mère de famille en conflit

Poupette Kenza est connue pour sa grande activité sur les réseaux sociaux. Et cette dernière a souvent défrayé la chronique en raison de ses nombreux scandales. Cependant, la situation semble aujourd’hui beaucoup plus grave.

Puisque la jeune femme est accusée d’extorsion de fonds en bande organisée et d’association de malfaiteurs. D’après certains blogueurs, Poupette aurait engagé un homme de main afin de récupérer une importante somme d’argent détenue par Caroline, une de ses anciennes amies et agentes.

Caroline et son mari auraient alors été menacés, séquestrés et contraints de payer cet individu. Personne dont l’identité reste encore inconnue pour le moment. Toutefois, Poupette Kenza nie fermement les faits qui lui sont reprochés. Elle assure n’avoir aucun lien avec cette affaire digne d’un scénario de film mafieux. Des propos qui n’ont pas suffi à convaincre le juge.

Poupette Kenza va-t-elle maître son troisième enfant au monde en prison ?

Actuellement en prison, Poupette Kenza est enceinte de son troisième enfant. Cependant, la date de libération de l’influenceuse est inconnue. De quoi naturellement se poser la question de savoir si la jeune femme accouchera en prison. Toutefois, selon les directives de la Haute Autorité de Santé, les femmes enceintes incarcérées sont logées dans des établissements dotés d’unités « nurseries«  spécialement aménagées.

De plus, elles bénéficient d’un suivi médical et d’un accompagnement par une équipe de professionnels tout au long de leur grossesse. Par ailleurs, il est possible pour ces détenues de suivre à distance des séances de préparation à l’accouchement et à la parentalité. En ce qui concerne l’accouchement lui-même, l’article D400 du Code de procédure pénale stipule que les détenues sont transférées dans un hôpital ou une maternité. Sauf si le médecin estime que l’accouchement peut avoir lieu à l’infirmerie de la prison.

Après la naissance, la mère et l’enfant sont réintégrés dans l’établissement pénitentiaire dès que leur état de santé le permet. Enfin, il est important de noter que, conformément à la loi française, les mères en détention peuvent garder leur enfant auprès d’elles. Et ce, jusqu’à ce que celui-ci atteigne l’âge de 18 mois.