Poupette Kenza est à nouveau au centre de nombreuses discussions. En effet, l’influenceuse a récemment été incarcérée pour tentative d’extorsion en bande organisée et association de malfaiteurs. Selon les informations relayées par le Parisien, la jeune maman aurait monté un scénario digne d’un film afin d’extorquer 300 000 euros à une ancienne amie. Quelques jours après son arrestation, Poupette Kenza a rencontré le juge. Et malheureusement pour cette dernière, elle a été maintenue en détention provisoire.

Poupette Kenza en hôpital psychiatrique ?

Suite à cette décision du juge, certaines personnes se sont demandées si Poupette Kenza enceinte de 5 mois accouchera en prison. Mais alors qu’on était sans nouvelle depuis quelques jours, un blogueur a fait des révélations surprenantes.

Selon Aqababe, l’influenceuse aurait été “transférée en hôpital psychiatrique à Rouen suite à plusieurs grosses crises de nerfs en cellule”. L’indic du blogueur a également rapporté : “La situation était vraiment ingérable.” Avant de conclure : “Poupette jetait au sol tout ce qui se trouvait dans sa cellule, criait, pleurait.” Une information qui n’a pas tardé à faire le tour de la toile. Cependant, l’avocat de Poupette Kenza a tenu à mettre les choses au clair.

L’avocat de l’influenceuse s’exprime

Ce lundi 15 juillet 2024, l’avocat de Poupette Kenza, maître Mourad Battikh, s’est emparé de son compte Instagram afin de partager un communiqué. Et ce, dans le but de démentir les fausses informations qui circulent. “Madame Kenza BENCHRIF est mise en examen et placée en détention provisoire depuis le 11 juillet dernier« , a-t-il commencé.

Avant de continuer : « Si le statut de personnalité de Madame BENCHRIF entraîne une attention accrue du public et des médias concernant son dossier, la défense s’alarme des nombreuses fausses informations qui circulent à son sujet sur les réseaux sociaux. L’une de ces allégations infondées consisterait à répandre la rumeur selon laquelle Madame BENCHRIF serait en réalité internée au sein d’un hôpital psychiatrique. Il n’en est rien”, a-t-il confié.

Par la suite, il a ajouté : “La situation dans laquelle se trouve Madame BENCHRIF, enceinte de 5 mois, est donc suffisamment éprouvante pour ne pas que s’ajoutent à ses souffrances. Et à celles de sa famille des rumeurs infamantes et dégradantes. Nous en appelons donc à la responsabilité de chacun pour cesser de colporter. Ces fausses informations qui troublent le bon fonctionnement de la justice.” Voilà qui est dit !