Poupette Kenza se retrouve une nouvelle fois dans une situation inconfortable… Sauf que cette fois, ce sont deux députés qui veulent lui retirer la garde de ses enfants ! Et pour cause, on lui reproche de « mettre en danger ses enfants »

Une situation similaire à celle vécue il y a quelques mois de cela avec les services sociaux. Rappelons qu’elle avait été accusée par certains membres du service hospitalier de Rouen, d’avoir renverser son fils Khalis…. Emmené d’urgence à l’hôpital, souffrant d’un hématome sous dural.

En février dernier, la jeune influenceuse de 22 ans, pointée du doigt par des haters, était visée par une enquête du parquet de Rouen. Cette fois ce sont les députés Bruno Suder et Sarah Tanzilli
qui ont saisi le procureur de Rouen pour la dénoncer.

En effet, ces élus auraient écrit au procureur, dénonçant des « faits constitutifs selon nous d’un délit pénal » mais aussi de « négligence, de mise en danger d’enfants et [de] publication d’images à caractère pédopornographique. » Mais qu’en pense la principale intéressée ?

Poupette Kenza : « Je veux montrer que nous sommes 1 million contre 100 »

Poupette Kenza n’est pas du genre à se laisser intimider ! Alors que ces deux députées veulent lui retirer la garde de ses enfants, la jeune maman ne compte pas se laisser faire pour autant. Outre ces problèmes, elle a également vécu une mésaventure dans la ville de Cannes où elle s’était rendue pour un meeting.

« J’ai pris de mon temps et de mon énergie. Et ça m’a fait plaisir de pouvoir aider à comprendre mon métier. Mais la mairie de Cannes a été harcelée d’appel par les haters. Le maire a ordonné la suppression de mes stories. Ce que je n’ai pas accepté. Je ne donnerai pas raison au harcèlement. » Confie Poupette.

Se sentant humiliée par la mairie et par cette sortie des deux députés, l’influenceuse a sollicité l’aide de son armée de Poupettes pour riposter :

« Quand vous avez la mairie de la ville qui vous appelle en ayant une image d’ordure de votre personne… Aidez-moi. Ce soir comme je ne fais jamais. Je veux montrer que nous sommes 1 million contre 100. Elles ont trop pris la place dans ma vie. Je lance le #Poupettesoutien. » Affaire à suivre !