Moonbreaker : peindre soi-même ses figurines dans son jeu vidéo est tout aussi rigolo que dans la vraie vie !
Studio ayant conquis sa renommée avec l’époustouflant Subnautica, Unknown Worlds a décidé de prendre le public à contre pied avec son futur jeu.
👉Grande innovation dans la nouvelle sortie du jeu Moonbreaker.
👉Possibilité accordée au joueur de peindre lui-même ses figurines selon ses goûts.
👉Graphique et design du jeu volontairement poussés à l’exagération.
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Moonbreaker est effectivement un pur jeu stratégique et tactique, qui pourrait bien convenir à toutes personnes qui adorent faire de la peinture sur des figurines.
Ci-dessous les impressions de NewStories suite à une présentation à la Gamescom.
S’exercer à la peinture sans s’en mettre partout
Et il faut reconnaître qu’il nous a paru très puissant tout en se faisant précis et ergonomique. Nous avons pu le tester quelques minutes, afin de peindre efficacement une figurine toute grise à la base.
Il est ainsi possible de créer ses tons propres, d’appliquer différentes nuances à la peinture, se concentrer davantage sur certaines zones très précises et l’effet final est très vite satisfaisant, quand bien même les figurines présentées dans le jeu afficheraient un tout autre visage.
Dans tous les cas, vous êtes immédiatement attiré par un gameplay innovant, et l’idée de peindre vos propres figurines est tout simplement géniale, constituant en grande partie l’attrait pour Moonbreaker.
Une théorie des combats à fort potentiel
Une fois sur l’arène, on comprend très vite que Moonbreaker n’est absolument pas une pâle copie de XCOM. Si les affrontements se déroulent bien « Tour à Tour », la grande différence ici est le défaut de grille. Exactement comme dans un Warhammer “sur table”, vos figurines peuvent prendre position n’importe où sur le terrain, dès lors que sa capacité de mouvement est suffisante.
Un système tout entier de ligne de vue est disponible avec un excellent pourcentage de réussite au tir compte tenu de sa position. Les unités gagnent du terrain au fur et à mesure et l’on dépensera du “Cinder”, la ressource principale du jeu, pour redynamiser son armée durant le combat.
Il est difficile, en quelques minutes, de jauger la profondeur du système de combat, mais chaque unité a des forces et des faiblesses, ainsi qu’une capacité spéciale. Par conséquent, il est important de déployer une équipe qui se complète bien pour, espérons-le, battre l’adversaire.
Une Interface façon Starcraft II
Un style graphique très coloré et un design des unités volontairement poussé à l’exagération.
Un look qui fait aussi se rappeler les divers camps de Starcraft II. Mais, une fois encore, rien ne vous empêcherait de repeindre toutes vos figurines avec des tons ternes pour créer une armée d’Emo.
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À propos de l'auteur, Jules Silvère
Passionné de livres depuis tout petit, mon intérêt pour les mots s’est vu grandir au fil des années. Bien qu’étant comptable de formation, je ne me suis jamais éloigné de l'univers littéraire. Des chiffres aux lettres, il n'y a que quelques touches de clavier. Alors quoi de plus sensationnel que de me retrouver dans la rédaction web ! Je m’y sens pleinement épanoui !