La saison 3 des Cinquante a commencé avec un énorme rebondissement. Au lieu de 50, ce sont 51 candidats qui ont débarqué dans le château du Lion. Et contrairement aux éditions précédentes, ces derniers ont directement rejoint l’arène pour prendre part au premier jeu afin d’éliminer une personne.

Vainqueur de cette épreuve, Jordan a obtenu un pouvoir inédit dans l’histoire des Cinquante… Celui d’éliminer le candidat de son choix sur la sellette, à la fin de chaque épreuve. Un cadeau dont il a fait usage dans la foulée, choisissant ainsi de faire sauter Jonathan qu’il considère comme redoutable.

« Ce mec-là, c’est un lâche »

Ce départ précoce a fait l’objet de débats sur la Toile et d’aucuns ont même accusé Jordan de racisme. Visiblement affecté et révolté par son départ de l’aventure, Jonathan a pris la parole sur ses réseaux pour pousser un coup de gueule. « C’est moi qui ai été éliminé en premier. Gratuitement. Gratuitement, parce que le mec a eu peur de moi« . A-t-il commencé par déplorer.

Et de poursuivre, agacé : « Je ne le connaissais même pas le frérot, il m’a éliminé gratos ! (…) Ce mec-là, c’est un lâche (…) Chacun interprète ça comme il veut, chacun fait sa théorie, mais pour moi, il n’y a pas de raison. C’est vrai qu’il y a un choix à faire, mais tu ne connais personne. L’explication qu’il donne, elle ne tient pas la route. C’est ça le problème ».

Jordan sort du silence et fait une mise au point

Quelques heures après la sortie de Jonathan, Jordan a, lui aussi, pris la parole. En live, TikTok, le candidat des Ch’tis, agacé par les critiques qu’il reçoit de part et d’autre, a commencé par déclarer : « En vrai, vous vous affichez tout seul ! Vous dites que j’ai mis Jonathan parce qu’il est de couleur noire, vous êtes des fous ! Vous êtes de grands malades ».

Celui qui a obtenu un pouvoir spécial a ensuite ajouté : « Moi, je suis content. J’ai remporté la 1ʳᵉ preuve avec un pouvoir qui n’est pas facile, il ne faut pas se mentir. C’est un cadeau empoisonné (…) C’est un jeu individuel, le but c’est d’arriver au bout et par n’importe quel moyen« .

Il ne s’arrête pas là et précise afin de calmer les ardeurs : « Cette année, la règle, c’est qu’il n’y a pas de règle, donc on fait ce qu’on veut. Si moi ma tactique, c’est d’éliminer les plus forts au début du jeu plutôt que les plus faibles, je le fais ! Je fais ce que je veux ». Voilà qui est dit. Affaire à suivre.