L’année 2024 commence très mal pour Maeva Ghennam inquiète. Depuis sa prise de position sur le conflit israélo-palestinien, plus rien ne va pour la Marseillaise. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, elle est depuis en guerre contre son ex-agent Magali Berdah.

Maeva qui ne porte plus la femme d’affaires dans son cœur, a même décidé de porter plainte contre elle pour abus de confiance. « Elle me prenait par les sentiments. Magali doit de l’argent aux marques (…) Elle doit de l’argent aux influenceurs. C’est dégueulasse ce qu’elle a fait. Plus personne ne travaillera avec elle », s’indignait-elle tout récemment.

Puis d’ajouter : « Elle a volé trop de gens, trop de marques, trop de personnes. Même ses employés, elle ne les payait pas ».

Maeva Ghennam sous le choc

Outre cela, Maeva Ghennam s’est retrouvée dans une situation bien plus complexe. La semaine dernière, elle révélait que son implication dans le conflit israélo-palestinien aurait poussé la BNP a fermé ses comptes bancaires.

Cette fois, c’est pour une autre raison que la Marseillaise se retrouve en larmes sur les réseaux sociaux. En effet, Maeva qui n’est pas la plus chanceuse en amour aurait été trompé par son chéri emprisonné. Dévastée, elle confiait à ce propos : « Je suis cocue les filles, c’est la première fois de ma vie que ça m’arrive, je ne sais pas comment le prendre. Je suis choquée ».

Puis d’ajouter : « J’aimerais trop savoir qui c’est. J’ai cramé sur Snap, mais bien sûr, elle ne va jamais se manifester, mais doit être contente parce que je le lui laisse ».

« Il me parlait de mariage »

Maeva Ghennam ne s’est pas arrêtée là. Dans la suite de son discours, elle a ajouté : « Ma chérie, je n’ai rien contre toi. Juste hier, il me parlait de mariage (…) Je veux juste parler avec toi pour savoir depuis quand j’ai été prise pour une c*nne et je te le laisse, je n’en veux plus ».

Peu après, la candidate s’est de nouveau exprimée en story Snapchat, confiant : « Juste que tu saches ma chérie, hier, j’étais avec lui donc il te prend bien pour une grosse bouffonne (…) Soit, tu es au courant et tu acceptes. Mais c’est que tu n’as aucune dignité et même ça je ne t’en veux pas ».

Puis de poursuivre : « Soit il t’a menti et moi t’inquiète, je vais te la dire la vérité et te montrer les preuves et dans tous les cas, je te le laisse« . Courage Maeva !