Nouvelle crise ! Kim Glow a accueilli son premier enfant en novembre dernier, une petite fille prénommée Talia. Bien qu’elle soit comblée de bonheur et sur un petit nuage, la jeune maman fait face aux challenges que rencontrent les parents. Tout comme Giuseppa, Kim ne manque pas de donner des nouvelles de son bébé dont l’état de santé est très souvent inquiétant.

Il y a quelques jours encore, elle se confiait sur Instagram, totalement dépitée : « On m’avait dit aujourd’hui : tu verras, un bébé ça fait que dormir… La mienne aujourd’hui n’a dormi que quand elle était à mon sein… Sinon elle n’arrivait pas à lâcher prise, elle a dormi 1h dans toute la journée… Je ne vous cache pas que c’est compliqué ».

« J’en ai marre »

En plus de son quotidien chamboulé par l’arrivée de sa fille, mais aussi ses insomnies, Kim Glow doit faire face à un autre problème. En effet, le chien de la candidate ne cesse de s’enfuir pour gambader dans la forêt. Une situation angoissante pour l’ancienne candidate de télé.

Ce mardi 13 février, Thaïger a une nouvelle fois fugué de la maison. En crise de larmes, Kim a commencé par s’exprimer face caméra :

« Il fait que s’enfuir… Je ne sais pas pourquoi il fait que s’enfuir ! Mon père avait tout solidifier en bas, il a réussi à tout arracher ! J’ai peur qu’il se fasse écraser… ou qu’il se fasse attaquer. J’ai trop peur, j’en ai marre. Mon compagnon, il a fait toute la forêt, il ne l’a pas trouvé ».

Kim Glow : « Je suis soulagée »

Quelques heures plus tard, Kim Glow est revenue aux nouvelles. Après une longue crise de panique, la maman de Talia a annoncé avoir retrouvé son chien. « Bon, je viens de recevoir une notification caméra, animal dans le jardin, devant la cuisine ! Donc c’est monsieur Thaïger« . A-t-elle confié tout sourire.

L’ancienne Marseillaise qui aurait fricoté avec Julien Tanti explique ensuite : « Il est revenu tout seul, il est parti faire sa promenade, il est rentré (…) Je ne sais pas ce qu’il a fait, je suis soulagée, mais il me met des coups de pression à chaque fois ! »

Puis termine sur cette note : « Ce n’est pas possible (…) Le matin, je l’emmène à la mer, je peux faire quoi de plus… Je m’occupe de lui ! ». Un gros ouf de soulagement.