De nombreux jours suivant la fin de la saison 2 des « Traîtres », le philosophe Vincent Cespedes reste fidèle à sa stratégie durant la diffusion sur M6. Alors que ce dernier a été éliminé durant les premières minutes de la dernière soirée du jeu, Vincent Cespedes, qui s’est créé beaucoup d’ennemis, n’arrête pas d’évoquer sa participation dans différents médias, et particulièrement son compte TikTok.

Via une vidéo partagée sur le réseau social hier mercredi, l’homme de 49 ans assure que son expérience était bien plus qu’un simple jeu. « C’est un jeu ? Alors que tu mets ta notoriété en jeu, alors que tu restes devant les caméras, alors que tu peux être con devant la France entière, arrogant devant la France entière ? Et que tu as M6 qui fait un montage derrière pour faire de toi le méchant, le fou ? Et qu’après l’émission il y en a qui bavent sur toi ? Ce n’est pas un jeu !« , assure-t-il.

Vincent Cespedes se plaint de la production de M6

Sans aucun doute, Vincent Cespedes confirme également que plusieurs éléments auraient été retirés au montage afin de lui dessiner une image de grand méchant de l’histoire aux yeux du public. Ce dernier estime que les multiples raisons pour lesquelles il s’est acharné pour faire éjecter le comédien Vincent Desagnat ont été retirées sur M6 par la production.

« Vincent, depuis le début il m’attaque. Il y a même Kheiron qui a mis sur Twitter son cahier et dans son cahier alors qu’il n’est resté qu’une journée, il dit : ‘Je suis sûr que Vincent Cespedes est traître parce que Vincent Desagnat qui est loyal me le dit.‘ Donc j’avais tout le monde contre moi dès le début, je prend des votes en table ronde contre moi dès le début, et parce que Vincent était contre moi.« , assure-t-il d’abord.

Il ajoute par la suite : « Mais ils ont tout coupé au montage, on ne voit pas que Vincent m’attaque depuis le début. On voit que je suis attaqué mais on ne voit pas que c’est Vincent qui m’attaque. Ils ont tout coupé pour faire de moi le méchant. Je l’ai viré avec une joie incommensurable. Non pas par méchanceté, c’est parce que j’étais attaqué. » Des mesures d’auto-défense totalement justifiées.