Études supérieures : La fille aînée d’Angelina Jolie acceptée dans une prestigieuse université
gée de 17 ans, Zahara va quitter le cocon familial et déménager à Atlanta pour poursuivre ses études universitaires au collège Spelman dès la rentrée académique prochaine.
« C’est un honneur de compter un membre de la famille parmi les nouveaux élèves de Spelman. Félicitations à toutes les nouvelles étudiantes qui débutent cette année ». Rendue publique par Angelina Jolie via son compte Instagram le 31 juillet dernier, la bonne nouvelle constitue une nouvelle page qui s’ouvre dans la vie de sa fille aînée, Zahara Jolie-Pitt.
En effet, la jeune adolescente de 17 ans poursuivra, dès la rentrée prochaine, ses études supérieures au collège Spelman, une prestigieuse université américaine. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’a pas perdu de temps car, elle a déjà eu l’occasion de rencontrer certains de ses futures camarades de promotion.
Spelman, un choix pas très banal
Choisir de suivre ses études au collège Spelman n’est pas un choix anodin, mais plutôt un joli clin d’œil aux racines de celle que le monde a vu grandir aux côtés d’Angelina Jolie et de Brad Pitt. Et pour cause : sur le site web de cette école, on peut découvrir que 76% des étudiantes qui y ont suivi leurs études, en sortent diplômées. Ce qui peut expliquer le fait que le collège Spelman soit le « leader mondial de l’éducation des femmes d’origine africaine ».
Pour décrocher son diplôme, Angelina Jolie devra donc laisser sa fille aller s’installer dans l’Etat de Georgie, situé au Sud-Est du continent nord-américain. Le départ imminent de Zahara fait suite à celui de son fils aîné dont l’actrice avait eu du mal à l’accepter. Maddox, puisqu’il s’agit de lui, étudie depuis août 2019 à l’université de Yonsei, basée à Séoul, en Corée du Sud.
En rappel, Zahara Jolie-Pitt voit le jour en janvier 2005 en Éthiopie. Adoptée à l’âge de sept mois par Angelina Jolie et Brad Pitt, elle a toujours conservé des liens solides avec son pays d’origine. Pour preuve, elle a eu à rencontrer, au début de l’an 2020, la première femme présidente d’Ethiopie.