Elizabeth II, seule contre tous ?

9 avril. Dans l’esprit d’Elizabeth II, cette date sonne comme un coup de tonnerre. À quelques jours de sa centième bougie, le Prince Philip s’envole en direction des étoiles. Depuis, rien ne se passe tel que prévu. D’une part, un immense fossé sépare ses deux petits-fils. De l’autre, elle doit se préparer à passer la main. Dans les deux cas, le sort semble s’acharner contre la souveraine.

Ces indices qui prouvent que la santé d’Elizabeth II décline

Jamais sans ma canne. Cela pourrait être la nouvelle devise d’Elizabeth II. Or, ce n’est pas pratique pour balader les chiens ou faire de l’équitation. Aussi, la mère du prince Charles a dû tirer un trait sur ces deux moments de détente. Hélas, un malheur n’arrive jamais seul. Donc, ce n’est pas l’unique contrainte imposée par les médecins. Vu les résultats des dernières analyses ne présagent rien de bon, elle doit se rendre à l’évidence. Obligée de corriger sa copie en matière de consommation d’alcool, le quotidien devient morose. À la fin du mois de février, son test positif à la Covid-19 tombe comme un cheveu sur la soupe. Comment va-t-elle se relever après ça ?

Cette visite qui tourne au vinaigre

Hormis l’hommage rendu à feu son époux, on prive Elizabeth II de cérémonies officielles. Dépitée, Elizabeth II tente de s’accommoder à ce nouveau protocole. Lorsqu’on propose d’inaugurer (virtuellement) une unité hospitalière qui porte son nom, un appel en visioconférence va tout changer. Pour la première fois, elle a un discours fracassant à l’encontre de la gestion de la crise Covid-19 et ses variants. De son point de vue, elle demeure « très fatiguée et épuisée ». Force est de constater que celle « horrible pandémie » a engendré des « conséquences [qui] ne sont vraiment pas agréables. » Comment tout cela peut évoluer sans qu’elle y laisse davantage de plumes ? Suite dans notre prochain numéro !