Depuis de nombreuses semaines déjà, Dylan Thiry fait face à de graves accusations. C’est le rappeur Booba qui attire l’attention de la Toile sur l’affaire, grâce à ses tweets. En effet, il souhaite dénoncer tous les “influvoleurs”. De ce fait, plusieurs influenceurs sont concernés, tout comme Dylan Thiry. D’ailleurs, le rappeur accusait le jeune homme de pratiquer du proxénétisme et du trafic d’enfants.

Au sein d’une vidéo-montage, il était même possible d’entendre une voix, celle de Dylan Thiry selon Kopp. Stéphane Vojetta, le député de Renaissance des Français de l’étranger, et le député PS du Calvados Arthur Delaporte, ont ainsi pris la parole. Ces derniers ont déclaré : “Dans ces notes vocales, M. Thiry indique souhaiter une tierce personne à ‘adopter’ un enfant à travers un acte manifestement illégal, et en échange d’une contrepartie économique.”

Depuis cet instant, une enquête a été ouverte. Cependant, Dylan Thiry tente tant bien que mal de se défendre. “Un jour, je m’exprimerai sans tabou par rapport à ces notes vocales”, a-t-il déclaré. Selon l’influenceur : “Tout ce qui se dit sur moi, bien évidemment, tout est faux. Je vais me déconnecter des réseaux sociaux (…) à la demande particulière de ma mère, qui vit très mal tout ce qui se dit sur moi.” Malheureusement pour ce dernier, l’affaire très loin de s’arrêter là, car une toute nouvelle plainte vient d’être déposée.

L’association de Dylan Thiry ciblée par la justice

Selon le média BFMTV, le parquet de Paris a récemment ouvert une enquête concernant la gestion de l’association du jeune homme de 28 ans. Cette procédure a été déclenchée par une plainte déposée en janvier dernier, pour abus de confiance aggravé.

La personne à l’origine est la vice-présidente et trésorière de l’association “Pour nos enfants”. Cette dernière reproche à Dylan Thiry le détournement de plusieurs centaines de milliers d’euros de dons humanitaires, ceci pour son profit personnel. En effet, il y aurait deux cagnottes en cause.

La première, clôturée en février 2022, qui s’élève à plus de 158 000 euros et la seconde, à plus de 95 000 euros, récoltée en octobre dernier. C’est donc environ 200 000euros qui lui auraient été directement transférés sur son compte. Depuis cette plainte, la vice-présidente subirait “des intimidations” aujourd’hui de la part de l’influenceur. La suite s’annonce sombre pour l’influenceur.