Manifestement, la famille royale britannique n’aime pas le calme. Après les scandales impliquant le prince Harry, Andrew et Méghan, c’est désormais le prince Charles qui est la principale cible des tabloïds. Et ce n’est pas de bonne augure pour Charles, qui est l’héritier direct du trône. Pour être plus précis, ce sont ses associations caritatives qui sont sous les feux des projecteurs.

Bien que les règles régissant les organismes de bienfaisance stipulent que les dons en espèces sont conformes, le don de l’ancien Premier ministre du Qatar, Sheikh Hamad Bin Jassim, a cependant soulevé quelques questions.

Le futur roi d’Angleterre aurait en effet reçu une énorme somme d’argent de Sheikh Hamad Bin Jassim, ancien Premier ministre du Qatar. Comme l’a révélé le Sunday Times le 30 juin dernier, la valeur du montant s’estimait à 3 millions d’euros. Ce don destiné à une association caritative a soulevé des interrogations chez de nombreux Britanniques sur l’influence réelle que pourrait avoir l’homme politique qataris sur le futur roi d’Angleterre.

Terminer les dons en espèces

Pour mettre fin à la polémique et éviter de nouvelles déceptions, le futur roi d’Angleterre a pris une décision ferme, celle de ne plus accepter de dons en espèces pour ses associations caritatives. 

« Les situations et les contextes changent au fil des ans ». « Je peux dire avec certitude que depuis plus d’une demi-décennie… cela ne s’est pas produit et ne se reproduirait pas », a déclaré une source royale aux médias.

Cependant les ennuis ne sont pas prêt de s’arrêter pour le prince Charles car l’une de ses fondations nommée « Prince’s Foundation » fait également l’objet d’une enquête. La fondation princière serait impliquée dans un étrange échange non conforme. En effet, le futur roi aurait promis des honneurs aux donateurs en échange de dons. A la suite de cette enquête, le directeur de la fondation et ancien serviteur du prince Charles, Michael Fawcett, aurait démissionné.