Le puissant super-héros John Hancock est devenu une blague à cause de son alcoolisme et de sa maladresse. Il est également devenu l’homme le plus détesté de Los Angeles. Bien qu’il ait sauvé de nombreuses vies, il a également détruit beaucoup de biens, coûtant des millions à la ville à chaque fois qu’il entre en action. Lorsqu’il sauve la vie de l’expert en relations publiques Ray Embrey d’un train qui arrivait en sens inverse, le cadre est reconnaissant et pense pouvoir redorer l’image de Hancock en tant que véritable super-héros. Il invite l’anti-héros à dîner chez lui et le présente à son fils Aaron, un grand fan, et à sa femme, Mary. Mais pour une raison mystérieuse, Mary ne veut pas que Hancock s’approche d’elle ou de sa famille.

Cité à comparaître au tribunal pour près de six cents procès civils, le super-héros ultra-puissant, toujours ivre et totalement antisocial de Los Angeles, Hancock, est un titan bien intentionné qui, malheureusement, fait plus de mal que de bien. Détruisant la ville par ses actes d’héroïsme dévastateurs, Hancock se retrouve dans une situation délicate lorsque, après une destruction collatérale de trop, Ray Embrey, un publicitaire endetté, se fait un devoir de nettoyer son image publique. La proposition de Ray semble être une véritable situation gagnant-gagnant pour toutes les personnes impliquées ; cependant, le duo improbable peut-il y parvenir ?

Hancock : Un superhéros avec une super gueule de bois

Dans « Hancock », le dernier film de Will Smith, il joue le rôle d’un ivrogne de SkidRow doté de superpouvoirs et d’une super gueule de bois. Il s’en sort bien, mais il y a toujours des conséquences, comme lorsqu’il sauve un homme dont la voiture est sur le point d’être heurtée par un train, mais provoque un accident de train. Ce dont il a besoin, c’est d’un bon relationniste. Heureusement, l’homme dont il a sauvé la vie est exactement cela. Il s’agit de Ray Embrey (Jason Bateman, le père adoptif dans « Juno »), et Ray a une idée : Il va rendre la pareille à Hancock en lui offrant un relooking complet de son image. Si cela ressemble à une comédie burlesque, étrangement, ce n’est pas le cas. Le film fait beaucoup rire, mais Smith évite de jouer Hancock comme un gaffeur et le façonne comme quelqu’un de sérieux, réfléchi et déprimé.

Embrey, l’expert en relations publiques, invite Hancock à dîner chez lui pour rencontrer sa femme, Mary (Charlize Theron), et son fils Aaron (Jae Head). La première fois qu’elle le rencontre, Mary lance à Hancock un regard étrange et pénétrant. Il en est de même la deuxième fois et la troisième fois. OK, OK, déjà : On a compris. Un regard étrange et pénétrant après l’autre. Ils ont une sorte d’histoire, mais Hancock n’en sait rien, et Mary ne parle pas.
Après une nuit de suspense avec « Taken » hier soir sur W9, retrouvez, ce soir à partir de 22h15 sur NRJ12, « Hancock », l’un des films de super-héros les plus trashs.