Chose promise, chose due ! Il y a quelques heures, Booba annonçait la fin d’un influvoleur via son compte Twitter… Et on était loin de se douter qu’il s’agissait en réalité de Dylan Thiry !

« Chers amis chers compatriotes je vous annonce la fin officielle d’un influvoleur. Un des pires un que vous détestez tous un des plus insupportables un vrai démon. Merci à tous pour ce combat infernal contre le vide. À tout à l’heure. #influvoleuràterre #FIN @collectifAvi 🙌🏾 » Pouvait-on lire.

Si dans la foulée le rappeur n’a pas dévoilé plus de détails sur l’affaire, à l’heure de ces écrits nous en savons davantage. En effet, le principal concerné déjà visé par plusieurs accusations d’escroqueries est cette fois pointé du doigt pour une sombre affaire de proxénétisme.

Booba enfonce Dylan Thiry avec un audio choc

C’est donc via son compte Twitter que Booba a posté un audio choc dans lequel Dylan Thiry parle d’un business visant à en recruter des prostitu.ées à Dubaï. Le but ? Leur assurer une carrière sur la plateforme payante MYM. Selon Dylan, cette initiative pourra “les sauver de la prostitution… Tout en récoltant un bon pactole au passage.

« La plupart des meufs ici à Dubaï, ce sont des pu.tes. Il y a une façon de les sortir de ça, qu’elles arrêtent de faire les putes, c’est de créer un MYM (…) La plupart des putes gagnent moins de 20 000 euros par mois. Donc la pute, on la recrute et on lui fait faire un MYM. Elle fait tout ce qu’on peut imaginer sur MYM : doigt dans la ch*tte, écarter les jambes, photos sexy, tout ça. » Explique Dylan à son interlocuteur.

Il poursuit ensuite : « Moi, j’ai une équipe derrière qui fait monter son MYM directement à 600, 700 000 abonnés”. Soulignant au passage que la prosti.tuée aura 20 % des revenus générés par son compte MYM, et : “tout le reste c’est pour nous”.

Toujours dans cet enregistrement, il évoque “des contrats de confidentialité en béton” nécessaires pour obliger ces dernières à lui verser 80 % des revenus générés par leur compte.

Il conclut ensuite : ”Ça veut dire en fait qu’on veut sauver les putes de faire les putes. C’est que du virtuel, comme ça, on sauve beaucoup de monde (…) Bien évidemment, pas besoin de te dire que ce ne sera pas sur mes réseaux sociaux.”

Pour l’heure, Dylan n’a pas encore réagit à la fuite de cette note vocale pour se justifier. Donc, affaire à suivre !