Aurélie Preston est plus que jamais décidée à retrouver un quotidien de vie normal. Pour cause : en octobre dernier, l’ancienne candidate des Anges 8 a tenté de se suicider. « J’ai décidé aujourd’hui d’arrêter, j’ai vu ce que j’avais à voir, j’ai voyagé, j’ai vibré, j’ai aidé, j’ai su écouter, être généreuse, j’ai pour ainsi dire tout donné (…) overdose, comme tous bons artistes qui se respectent. », pouvait-on lire dans une publication rapidement supprimée avant le passage à l’acte.

Fort heureusement, elle a été secourue et semble s’en remettre aujourd’hui, malgré les quelques séquelles persistantes. En effet, Aurélie Preston a vécu une expérience traumatisante lors des tournages de certains programmes de télé-réalité.

La jolie blonde a d’ailleurs écrit un livre intitulé Brisée, dans lequel, elle explique le harcèlement et les conséquences de son passé de candidate de télé-réalité. Cela dit, miss Preston est aujourd’hui déterminée à mettre fin à tout cela ! Ce jeudi 1er décembre, Aurélie Preston a lancé un appel à l’aide au président de la République dans cette optique. 

Un second appel à l’aide au président Macron

Dans sa première lettre adressée à Emmanuel Macron, Aurélie Preston déclarait : « Ouvrons des centres de victimologie. (…) Emmanuel Macron, rencontrons-nous pour parler du harcèlement et du cyberharcèlement, a poursuivi l’ex d’Andréane. Faisons bouger les choses. » Seulement voilà, depuis cette requête, la principale intéressée n’a pas eu les retours souhaités.

Mais, Aurélie ne semble pas se décourager et compte bien atteindre son objectif. Ce vendredi 9 decembre, la jeune chanteuse est revenue à la charge avec une deuxième lettre ouverte au président de la République. Dans un post Instagram, elle s’est exprimée en ces termes :

« À notre président Emmanuel Macron (…) Si je vous écris ce soir, c’est parce que je ne peux plus, le harcèlement a eu le meilleur environnement pour s’installer. Et avec le relais presse, télé, réseau, l’être humain n’a plus de cadre. Certaines émissions avec leur schémas devraient être visionnées avant leur diffusions. Pareil pour les réseaux sociaux, qu’ils soient de plus en plus contrôlés et modérés. Car derrière chaque écran, il y a une vie et avec toute cette ère digitale, le harcèlement c’est du 360 (…) Il faudrait aussi qu’il existe beaucoup plus de centres de victimologie publique, avec des spécialistes en mémoires traumatiques par exemple… ou du rTMS qui pour moi sont indispensables. » On espère que cette fois, le chef de l’Etat réagira à cette demande d’Aurélie Preston.