Le blogueur Aqababe, connu maintenant pour son podcast l’Heure du Thé, passe une très sale période. Le harcèlement va de plus en plus loin et est devenu monnaie courante, surtout dans le monde des influenceurs.

On ne parle plus du harcèlement subi par Magali Berdah ou encore Jeremstar. Le harcèlement et les menaces peuvent avoir de très lourdes conséquences dans la vie des victimes. Le jeune Aqababe, qui ne s’est pas fait que des amis sur les réseaux sociaux, a été victime d’une agression avec arme à feu à son domicile. Il accuse Poupette Kenza d’avoir orchestré cette attaque violente.

Invité à s’exprimer sur le plateau de TPMP, le jeune homme, toujours sous le choc, fond en larmes. Il a vraiment eu la peur de sa vie et a eu peur pour son ami, qui dormait dans la chambre, Valentin. Un véritable drame qu’Aqababe raconte dans les larmes.

Aqababe traumatisé à vie

Le jeune homme tente tant bien que mal de s’échapper et de composer le 17. Seulement, il se prend un coup de crosse de revolver en plein visage. On pourrait croire que les faits se sont déroulés aux USA tellement l’histoire est hallucinante.

Aqababe est traumatisé. Aujourd’hui, il se sent totalement déboussolé par cette terrible aventure. Certains internautes en rajoutent en affirmant que cette agression n’a jamais eu lieu et qu’il s’agit d’un simple coup de buzz supplémentaire. De plus, il reçoit des messages à caractère homophobe.

Guillaume Genton s’interroge sur le métier d’Aqababe

Sur le plateau, les chroniqueurs semblent très sensibles à l’agression subie par Aqababe. Guillaume Genton interroge le blogueur : « Est-ce que ça t’a fait prendre conscience que ton métier est dangereux ? » Il n’y a qu’en France qu’il y a cette impunité envers Aqababe, répond-il.

« Moi, on peut tout me faire. On peut me frapper, on peut me séquestrer, on peut diffuser des vidéos de moi tout nu sur Internet. Non, je n’arrêterai pas mon métier pour ça. »

« Tu as tout de même un fond de commerce qui peut poser problème. » Ajoute Guillaume Genton. Géraldine Maillet intervient : « On n’a pas à l’agresser dans tous les cas. »

Le jeune homme, en larmes, finira par quitter le plateau. Si vous êtes victime de harcèlement, vous pouvez contacter le 17, le 112 ou encore parler à un policier à toute heure du jour et de la nuit sur le site du service public. Le harcèlement et les menaces ne doivent pas rester impunis.

Dans la soirée, le blogueur s’est exprimé auprès de sa communauté, se sentant piégé par TPMP. « Je pensais être entendu. Je ne lâcherai rien ».